Belle affluence ce matin au départ de Gondreville, et ce qui ne gâte rien, avec un soleil radieux. Le chemin herbeux après Fontenoy encore plein de rosée nous permet d’avoir des pneus nickel; nous longeons le bois communal d’Aingeray , avant de plonger vers les « eaux bleues ». Nous traversons la Moselle et passons devant « le trou des fées », avant d’attaquer une grimpette vers le lotissement de « toulaire ». Le single qui longe ce lieu va être fatal à votre narrateur qui se retrouve les quatre fers en l’air dans le devers et dans les ronces. Grâce aux copains, il a pu remonter sur sa machine avec quelques égratignures. Nous poursuivons dans la forêt de « Natou » et ça faisait longtemps que nous n’avions pas vu nos copains chasseurs. Nous faisons un détour pour ne pas perturber leur action, et quelques kilomètres plus loin, c’est un autre groupe de chasseurs qui nous obligent à les contourner. Nous n’aurons plus d’autres incidents sur le retour et arrivons chez nos hôtes du jour où Yves nous a rejoint pour le débrif suite à 42 km et 452 m .
Jacques

Oooouuuhhh, il fait frisquet ce matin, moins de 5°C au thermomètre, l’automne est bien là. On se retrouve à sept à Chaudeney pour rouler le tracé concocté par Jacques, merci Jacques. Jean Luc, qui a cassé sa roue libre la semaine dernière, arrive avec un beau vélo tout bleu. L’ancêtre dans sa grande bonté a prêté son VAE remarquablement propre, le bleu nous aveugle. Je ne sais si c’est le froid ou les quelques nappes de brumes qui s’élèvent de la Moselle, mais les 2 Garmins qui devaient nous guider sont gelés (les Twonav vont se marrer). Donc nous prenons la direction de Pierre La Treiche en aveugle, heureusement on connaît un peu le coin. Tout s’arrange, les Garmins se réveillent, la sortie peut continuer tranquillement. On se dirige vers la base d’Ochey par le Grand Bois, un petit peu de forêt de Biqueley et de Viterne. On longe la base et prenons la route du retour via Moutrot ( on traverse le champ de maïs qui a été ensilé) Biqueley et retour à Chaudeney. 38 km parcourus, 500 m de dénivelé . Une belle matinée quoi. Yves, sois rassuré, Jean Luc a pris grand soin de ta monture.
Dominique

Nous sommes huit au départ ce matin avec un temps idéal pour notre sortie. Jacques nous ayant lâchement abandonné, nous allons essayer de ne pas nous perdre! Après un passage dans les remparts et la découverte pour certains d’un sentier rejoignant le canal, nous empruntons la piste cyclable jusque Sainte Catherine. Un petit tour par le terrain de foot d’Ecrouves et direction Pagney par le single habituel. La  »Paulette » toujours aussi facétieuse malgré ses 100 printemps, nous avait fait positionner une camionnette devant l’entrée de son Pub rock, interdisant tout passage. Heureusement un gentil quidam vint débloquer la situation! Une bonne grimpette pour nous remettre de nos émotions et nous rejoignons le plateau d’Ecrouves. Après quelques passages techniques, nous traversons le Bois de Pagney et rejoignons Laneuveville. Petit tour autour du fort de Lucey avec quelques hésitations de parcours (Hé oui, n’est pas Maître Jacques qui veut! ). Descente caillouteuse vers la Croix Arnoult puis remontée vers les Trois Chênes, fatale pour la roue libre de Jean-Luc. Heureusement SOS dépannage Michel B. et remorquage par le trajet le plus court pour rejoindre Toul après 34 kms et 550 m de dénivelé. Merci à Agnès et Jean-Marie pour le pot de fin de sortie.
Bernard de L’Embannie

On est dix vététistes avec l’apport de Romain, le voisin de William et 4 routiers à participer à la rando de l’Aremig. Le parcours de ce matin se fait sur un terrain absolument sec et emprunte de nombreux singles, ce qui ravi quelque uns d’entre nous. On longe le lotissement de Clairelieu avant d’arriver au ravitaillement où 3 d’entre nous décident de faire le 26 km, les autres optent pour le 38 km. Un incident s’est produit dans une descente, Christophe a fait une chute, jambe très douloureuse, l’obligeant à rentrer avec l’assistance de l’organisation. Aux dernières nouvelles, il a du mal à plier la jambe… Le retour se fera sans autres incidents , belle matinée et beau parcours.
Jacques

Il est bien courageux notre Seb, le seul du groupe en musculaire et le parcours de ce jour n’était pas des plus plats. 37.2 pas le matin mais en km et 765 m de dénivelé. Après avoir contourné le « fort paintball » nous faisons un arrêt pour contempler le vestige que fut un banc de pierre issue du jardin de chez Yves et qui restera pour des siècles en ce lieu de pèlerinage. Direction Uruffe, puis grimpette en passant devant la « Croix Bernard » pour rejoindre le plateau de Pagny la Blanche Côte, superbe panorama sur la vallée de la Meuse en contre bas. On descend jusqu’au village en empruntant le single qui descend à flanc de coteau, pour remonter la « côte de vignes » et ça pique un peu. D’ailleurs, il n’y a plus de vignes dans le coin. On traverse la « Viole » pour rejoindre Vannes et dernière montée pour rejoindre notre objectif où Yves nous offre de quoi débriefer.
Jacques.

Bon, on est un petit commité ce jour, mais on a le Bernard, l’égaré du dernier WE , et après avoir descendu son beau vélo de son véhicule, ou aucune trace de poussière ou de boue ne subsiste (contrairement à celui de Dom, voir photo) , il s’aperçoit qu’il a oublié de prendre la batterie. Dans notre grande bonté , nous lui permettons d’aller rechercher l’objet du délit chez lui. Celui-ci remis à sa place, direction Lucey en contournant le bois de « Mortemoselle » en passant devant l’ouvrage du « Val des Nonnes » et une partie de plaisir dans le single « du Bulletin-Faymont ». Les raisins des »Vignes l’Évêque » ne sont pas encore prêts à être vendangés alors on ne s’attarde pas et rejoignons la source de « Domfontaine » puis celle du « Goulot ». S’en suivent plusieurs singles pour rejoindre le « fort d’Ecrouves » avant de plonger jusqu’à notre point d’accueil où Robert et Christiane nous attendent de pied ferme au bout de 28 km et 550 m de dénivelé.
Jacques

Le beau temps de ce jour incite nos dix protagonistes à en découdre sur un parcours dont le dénivelé n’a pas découragé certains d’entre nous qui ont troqué leur VAE pour le musculaire. Les hirondelles perchées sur les fils électriques ont apprécié. Les montées les descentes s’enchaînent sans problème jusqu’au « bois de la Dame » à Bulligny. Nous avons perdu Bernard. Deux d’entre nous, rebroussent chemin pour essayer de retrouver l’égaré. Rien, l’oiseau s’est envolé. En fait, il est redescendu à Bulligny et est rentré seul. Nos deux acolytes rejoignent le reste du groupe. Nouvel incident, crevaison du pneu arrière d’Eric. Réparation faite, nous poursuivons et quelques kilomètres plus loin, c’est au tour de Philippe, mais là c’est plus grave, car un galet du dérailleur a lâché. On retrouve le galet, la vis mais il manque l’entraxe, ouf, retrouvé au bout de quelques minutes. La réparation est effectuée avec succès, on peut poursuivre et finalement nous arrivons sans autres incidents. L’accueil chez Françoise et Michel, nous permet d’oublier ces péripéties .
Jacques

On est cinq ce matin et pas des « poules mouillées » à partir par le sentier des bornes au dessus du Larot, il y a un nombre impressionnant de champignons, pas étonnant avec la flotte qui tombe et cette moiteur, on passe à la fontaine de la deuille, et rejoignons la forêt de Blainville et la croix Hacquart , le tonnerre commence à gronder au loin et après le bois de Pont st Vincent, c’est le déluge, on n’y voit pratiquement rien tellement c’est sombre , mais comme on est pas des « poules…… » on continue ,le single ressemble à un torrent, bref à hauteur de Sexey, nous décidons de rentrer par la piste cyclable et arrivons à Pierre bien rincés, 30 km quand même..
Jacques

Après la visite de zone industrielle de la croix de Metz, un petit tour dans le Bois la Ville. Hésitation de la direction à prendre , notre guide confond le chemin du retour avec celui de l’aller. Pas grave, tout rentre dans l’ordre pour rejoindre la carrière de Villey et un single au dessus du « Terroin » .Un chemin inédit dans le bois « la Vau Perrin » et nous passons au dessus des carrières de Jaillon. Nous retraversons le Terroin pour rejoindre le « pont de Jaillon » et là, grosse galère dans un single complètement en dévers qui se fera difficilement à pied sur pratiquement 1 km. Trois plus malin d’entre-nous ont préféré prendre le chemin carrossable. Bref on se regroupe au « pont ». Le retour se fera sans autre forme de procès pour arriver chez Philippe, sa charmante compagne avait préparé de quoi bien dé-briffer.
Jacques

Ce matin, malgré une température et un temps pas très engageant, nous sommes 5 au départ de Chaudeney . Mais que se passe- t-il donc ? il est 8h30 et Maître Jacques n’est pas là ? Après vérification téléphonique, il s’avère que ce n’était pas une panne de réveil mais tout simplement un déluge qui s’était abattu sur Mont le Vignoble, renvoyant l’intéressé sous la couette ! Heureusement comme à son habitude Jacques nous a envoyé le parcours et nous ne sommes donc pas complétement abandonnés ! Jean-Marie a une nouvelle fois laissé tomber son VAE et je suis le seul à venir au rendez-vous en voiture. Nous partons le long de la Moselle , en traversant le bois de Chaudeney et ses quelques grimpettes et nous arrivons au barrage de Villey le Sec où nous avons la bonne surprise de rencontrer Bada accompagné d’une charmante équipière. Puis nous traversons le Bois L’Evêque pour arriver à proximité de la ferme des Gimeys avec quelques arrêts dus au franchissement d’arbres tombés sur les sentiers (ce sera d’ailleurs le cas de nombreuses fois au cours de cette sortie). Passés les bois de L’Enfoux et du Chanot, nous rejoignons Pierre la Treiche et en empruntant le monotrace le long de la Moselle, nous atteignons Chaudeney après un parcours de 34 kms et 600 m de dénivelé. Pas de pluie et un terrain assez gras mais largement praticable.
Bernard de L’Embannie

Le temps est plutôt maussade ce matin au départ de Mont. Yves est venu nous encourager et nous invite pour le débrif de fin de sortie. C’est parti, direction Charmes par le chemin de « Haye de l’écluse ». Nous rejoignons le plateau au dessus de Charmes et Jean-Marie qui a troqué son VAE pour le musculaire, commence à regretter son choix. Une averse musclée nous oblige à mettre les kways. Passé Blénod, une grimpette va réveiller une vieille douleur chez Emilio. Michel en bon samaritain a échangé sa monture électrique pour permettre à Emilio de se hisser au sommet, mais quelques kilomètres plus loin il préfère sagement couper au court. Nous traversons le « bois des Cosaques » et empruntons la sommière du Cul de Sac pour rejoindre la forêt d’Uruffe après avoir monté le « Grand Canyon ». Pas facile, le bougre. Retour par la voie de Bulligny, puis l’ancien terrain de foot de Bull avant la plongée vers le château d’eau pour atteindre notre objectif suite à 34 km et 643m de dénivelé.
Jacques

Il fait beau ce matin, après la pluie de cette nuit. Nous sommes dix à partir le long des vignes de la » comtesse » de Choloy et déjà un arrêt pour regonfler le pneu arrière de Jean-Marie et tant qu’à faire celui de Philippe et c’est pas fini car au bout de 500, Philippe est de nouveau à plat, resserrage de la valve et regonflage; cette fois sera la bonne. Un petit tour sur le plateau de Domg, plongée vers le Val de Passey , petite grimpette pour rejoindre le chemin du blaireau, où nous constatons que Bernard de Charmes n’a pas fait son boulot : le single est partiellement obstrué de branches qui fouettent le visage. On arrive malgré tout au « moulin des onze fontaines » et petite grimpette pour un petit tour dans le « bois Bigot » où j’ai entendu par certains que le parcours était un parcours de « m… » , ça faisait longtemps.  Alors puisque c’est comme ça on va vers la « Camardiére » et le chemin pour rejoindre Rigny est quelque peu encombré par des arbres tombés en travers. Le retour se fera avec deux grimpettes, histoire de laisser un bon souvenir à Seb, mais tout cela ne sera qu’un mauvais souvenir car au bout de 33 km et 745m de dénivelé, Françoise a préparé un apéro catalan, apprécié de tous. Merci pour ce moment.
Jacques

C’est l’affluence ce matin, on est onze au départ avec un temps mitigé, direction le Mt St Michel, celui de Toul, le vrai , sans touristes pour freiner notre progression, beau single en descente, qui nous permet de poursuivre par le chemin qui suit le cours du « longeau » ou une « horde » de cigognes se désaltérant au bord d’un étang avec leur long bec emmanché d’un long cou, et prennent leur envol l’approche de notre « horde ». Nous passons devant la ferme du longeau et près de celle de Sebastopol et son usine de méthanisation,un petit tour dans le bois de »génotte » pour traverser » l’ouvrage de francheville », passé Francheville, on contourne le cimetière militaire d’Andilly, une remarque de Seb, entre autre, qui trouve que nous faisons du bitume et oui, l’organisateur du parcours à tenu compte des remarques du circuit de la semaine dernière à Neuchateau pour permettre à ces chochottes de pouvoir se remettre de leurs émotions. Bref fini le bitume, le bois de chazeaux est une découverte pour nous, la suite Lagney, puis les vignes l’évêque au dessus de Lucey nous autorisent à prendre de la hauteur pour passer « la croix Anould », de rejoindre le fort de Bruley, et ensuite roue libre jusqu’à Toul ou Jean Marie et Agnès nous permettent de débrifer suite à 42 km et 535m de dénivelé.
Jacques

Nous sommes huit à l’appel du 18 juin 2023, la guerre n’est pas gagnée… même avec le retour d’un vétéran, absent depuis plus de deux mois suite à un périple à travers l’Europe du sud en autonomie ou presque!! Petit débrif pour nous mettre dans l’ambiance et on se projette sur notre parcours du jour. On rate un minuscule single à la sortie de Bicqueley. Pas grave, on récupère le parcours un peu plus loin qui nous projette dans la banlieue d’Ochey puis contournons la BA133, passé la D 974, nous cheminons dans les bois « la Champelle » avant de passer « sous le guiche »(j’invente pas) et de rejoindre les « bois de Selaincourt » où nous déplorons l’absence de l’élue des lieux. Ce n’est que partie remise. On rejoint et suivons l’ancienne voie ferrée qui reliait Barisey la Côte à Favières pour alimenter en bois la scierie Thanry de Favières. Au bout de plus de 6 km de cette piste, nous arrivons à Colombey, elles n’y étaient pas, alors on continue en passant dans un chemin très herbeux avant d’emprunter la vallée des foins qui va être fatale à Gérard, victime d’une chute provoquée par des ornières rendues aussi dures que du béton, suite à cette période sans flotte. La suite par le long de la vallée du Chahalot ne sera qu’une formalité et arrivons au terme de notre sortie suite à 44 km et 432 m de dénivelé.
Jacques

Aujourd’hui c’est un grand jour, d’abord il fait un super temps, le parcours est pratiquement inédit pour les neuf participants, et oui notre hôte, William presque remis de sa mésaventure suite à sa chute lors de la « Lucey n » et sur les bons conseils de son épouse, a remis au 18 juin sa participation à nos sorties (il faut dire que la famille part le 10 juin pour un séjour d’une semaine sur la côte d’usure), et il a délégué sa participation à Romain, son voisin. On prend le chemin de « la grande fauchée » qui ne l’était pas et même nous oblige à faire demi tour pour rejoindre la ferme des Boyer, on emprunte le tracé de l’ancienne ligne de chemin de fer jusqu’à Avrainville puis nous passons à coté des « friches et de la mare de Ché » (me dites pas qu’il est venu dans la région pour viré les Américains de la base toute proche), il parait que cette base était le lieu de travail (enfin c’est beaucoup dire) d’un certain Jean Marie et qui venait s’entraîner ou traîner à ses heures perdues (et il en avait beaucoup). S’en suit un passage délicat dans le « fond d’harbonveau » et de provoquer la chute de Christophe. Le bois de la Rappe passé, nous arrivons devant une barrière, indiquant propriété privée, Hé oui nous sommes dans les bois au dessus de Manonville et ici, il y a un comte, un vrai, (pas comme à Domgermain), qui perpétue la tradition des grands seigneurs et qui ne supporte pas que des « gueux » foulent le territoire. Finalement on passe, et suivons le cours de l’Esch, le lieu rappelle de bons souvenirs de jeunesse à Bernard, originaire de Manonville, lui aussi. Les chemins parfois très herbus et piégeux provoquent quelques chutes celles de Seb, d’Emilio. Et même Bernard le comte se plante dans une mare. On galère un peu dans le bois de Réhanne, ou Thomas à la bonne idée de percer de la roue avant, nous sommes assaillis par les moustiques pendant la réparation, le retour par une partie de la forêt la reine nous permettra d’arriver chez nos hôtes et sommes reçus comme des rois (voir les photos, ça vous en bouche un coin). Super parcours de 39 km et 350 m de dénivelé.
Jacques

Un super soleil ce matin et Philippe est accompagné de son plus jeune fils, dommage qu’il n’en pas une quinzaine, car nous ne sommes que cinq à faire ce parcours superbe avec quelques découvertes vers « Lay st Remy « et « Trondes »par des singles fort sympa, Anto le fils apprécie le parcours. On rejoint la val des nonnes sans trop de boue, petite montée sur le plateau d’Ecrouves avant de tomber sur « Grandmenil sans encombre. Quelques kilomètres faciles avant d’arriver chez Jean Luc et Marie Anne avec un copieux apéro, et au bout de 31 km et 496 m de dénivelé.
Jacques

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Encore un temps de rêve ce matin , ciel bleu sans aucun nuage et température juste ce qu’il faut. Un peu de mécanique au départ, car les galets du dérailleur de votre narrateur étaient bloqués par un amas d’herbe accumulé depuis la veille, Notre bon samaritain Bernard a pallié avec dextérité a tout remettre en ordre de marche; donc c’est à quatre que nous partons de Vannes, direction Saulxures et son bois avant de passer par la « croix st Rémy » ou nous avons pu respirer les » bonnes odeurs « émanant d’un vieux tracteur qui devait fonctionné à l’huile de friture mac Do, heureusement, le conducteur a bifurqué pour rejoindre sa portion de bois, et nous avons pu enfin respirer les vraies bonnes odeurs des sous bois. Petit tour sur le plateau avant de plonger sur « Traveron  » sur un sentier ou la hauteur de l’herbe nous dépassait,( la fenaison va être abondante cette année), on atteint le tunnel de l’ancienne ligne de chemin de fer qui reliait Pagny Meuse à Neufchateau , longueur 320 m en légère courbe et au milieu, il fait noir comme dans le cul du loup, c’est vous dire, bref on arrive a en sortir et rejoignons Montbras , son château, et avant d »arriver à Champougny, nous sommes obligés de traverser un gué qui salira nos montures et ce ne sera pas le dernier car nous longeons le ruisseau de la « Viole »que nous devons franchir à plusieurs reprises avant d’atteindre notre but en passant par le « bois des seigneurs » suite à 36 km et 505 m de dénivelé
Jacques

C’est pas la foule ce matin, certains ont profité du WE prolongé pour s’évader. C’est parti, descente vers la Moselle en passant par la « sabotière », passé le barrage, nous longeons la rive droite, les chemins sont secs et nous arrivons à Maron, une montée très raide nous mène sur le plateau de Haye, nous passons derrière le lotissement de Clairieu pour rejoindre les singles qui longent l’autoroute, vers la »grande haye », des travaux forestiers, toujours aussi bien fait, nous obligent à modifier quelque peu notre tracé, tout rentre dans l’ordre pour rejoindre notre point de départ, suite à 39 km et 605m de dénivelé, A noter deux chutes de Christophe, sans gravité.
Jacques

Après une reprise des « côtes de Toul » ce dernier dimanche, qui, de l’avis des participants, fut une réussite, grâce, notamment à nos Vététistes bénévoles qui ont balisé les parcours sans faille et assumé le point de ravitaillement du « val des nonnes » de main de maître. Aujourd’hui, c’est à Mont que nous avons rendez vous avec un soleil magnifique et une température un peu frisquette Yves est au départ pour nous encourager, mais déjà notre Jean Marie, malgré le parcours prévu chargé sur son GPS, nous indique de fausses infos, genre dénivelé très important , parcours dans l’autre sens.. etc.., Bref, Jean marie, si tu continue, ça va être ta fête, en plus de celle d’Eric , ce jour et Yves demain. C’est parti par le chemin « des grandes fauchées » qui ne l’était pas, un petit tour dans le bois de Gye avant de rejoindre Bicqueley, nous longeons le ruisseau de la Bouvade petit détour par le « val des aînés » et la « vallée des foins » pour rejoindre « le parking des anges » à Bagneux ou notre Jean Marie, se prend une gamelle, à l’arrêt svp… il avait oublié de décaler sa pédale, résultat un genou en sang et un coupe vent déchiré et même pas une partenaire pour faire un slow au dancing des anges… Passé devant Bagneux et le bois de « charmonde » on longe le ruisseau du  » Boucher » encore lui, avant la montée de la » blaissiére »qui va être fatale au moral de Robert, c’est pas grave on va rentrer par la route pendant que nos copains suivront le parcours prévu, finalement on se retrouve chez Yves à 11h30, William encore convalescent nous à rejoint et Yves a fait une surprise à notre Jean Marie, car en ce jour ce n’est pas sa fête, mais son anniversaire… 67, avec un verre qui contient plus d’un litre, de quoi en foutre plein la vue aux petits joueurs de « l’october fest », et c’est dans la bonne humeur que nous avons clôturer cette sortie suite à 36 km et 500 m de dénivelé.
Jacques

En ce jour maussade, nous sommes sept à tester le parcours de 30 km des prochaines CDT. Hier malgré mon raté, ils étaient trois à faire la rando de la deuille et également trois pour la sortie prévue à Pagney..Bref notre parcours de ce jour emprunte les singles jusqu’à la montée vers le st Mich, qui demandent à un petit éclaircissement, notre bon Jean Marie va se coller à cette tâche, le long single qui descend à partir du fort ne présente pas d’obstacles notoires et le reste jusqu’au point de ravito semble OK. A ce point nous avons croisé un copain du club de Lucey qui nous a dit qu’une petite partie de la boucle du 45 km, nécessite un petit rafraîchissement, à voir samedi matin lors du fléchage..Le reste du parcours ne présente aucune difficulté et c’est à l’issue de cette sortie qu’Eric, un tout jeune retraité, accompagné de son épouse, nous a offert le débrif, deux copains en convalescence, Yves et William, se sont joint au groupe pour la circonstance, nous leur souhaitons de revenir rapidement pour pédaler et peut être de.. râler………
Jacques

C’est à sept que nous partons vers le sentier qui suit le cours de « larot », étant le dernier du groupe, je prend soin de dire que le parcours emprunte une montée à mi chemin de ce cours d’eau, et comme de bien entendu le groupe n’a même pas vu ce chemin et a poursuivi jusqu’au trou de la deuille , pourtant quelques uns avaient la trace sur gps, bref tout rentre dans l’ordre avant de rejoindre le bois de « l’enfoux » de passer devant la croix chobaut puis le plateau au dessus de Viterne. Descente jusqu’aux sources sources ste Anne et ste Claire , bonne grimpette pour rejoindre la forêt de « bois l’evêque » avant de faire une halte au chalet « beaurivage » terme de notre sortie suite à 34 km et 510m de dénivelé
Jacques

A quel bonheur, ce matin, le soleil est au rendez vous ainsi que sept pédaleurs et à l’heure, pour un périple que l’on va un peu tronquer pour préserver nos valeureux musculaires, mais ça sera quand même 33 km et 609 m de dénivelé , en passant par la vallée de la mahéva, jonchée de multiples branchages et un sentier défoncé par des « professionnels » , on peut leur attribuer un carton rouge!!!. Nous passons par le  » grand canyon » que nous prenons par la descente( cette une fois) pour rejoindre Uruffe, non sans avoir testé le lit du ruisseau de la deuille, un peu gonflé par les pluies de ces derniers jours. Après  » Gye paumé » on se coltine une sévère montée avec passage à 25%, pour rejoindre la ferme de la « camadière ». Le retour par la vallée des quatre vaux et la forêt de l’essart va nous permettre d’en finir avec les montées à la grande satisfaction d’Emilio et pas que! pour rejoindre notre point de chute chez Françoise et Michel qui nous offrent le réconfort qui va bien et en plus avec la présence de Yves qui vous transmet ses amitiés à tous.
Jacques

On se retrouve à 4 ce matin au local pour un départ direction Ludres, On décide de rouler la boucle des 33 km. Départ sympa sur le plateau de Ludres direction Chavigny, la trace nous emmène sur des singles tortueux mais nos talents de pilotage n’en font qu’une bouchée. Ravitaillement à Chavigny. Et là les choses se corsent, première montée infernale. Jean Marie qui a cru bon de de se pointer en musculaire (eh oui il en veut notre brave) commence à regretter son choix et ce n’est pas fini. On enchaîne les descentes et les raidards abrupts dans les caillasses au-dessus de Messein. Bref on on est plus souvent à pied que sur le vélo, a croire qu’à Ludres tout le monde roule en VAE.On rejoint le plateau bien fatigués, après 700 mètres de dénivelé. Dernier single à passer, heureusement Jean Luc passe devant et donne l’allure, on a besoin d’un meneur pour nous motiver. Le point d’arrivée se rapproche, Christophe nous dit « je paie ma tournée »YES. Et la c’est le drame, pas de bière à l’arrivée, il en faut plus pour décontenancer Jean Marie, qui nous invite à passer rue du Briffoux. Agnès et Jean Marie nous reçoivent comme ils en ont le talent. Merci à eux.
Dominique

Bon! Superbe temps ce lundi matin pour la sortie de Lucey . Nous sommes donc 8 à pied d’œuvre pour faire la rando préparée par le club local.Comme prévu le parcours s’avère très technique et provoquera une chute sévère pour William qui y laissera quelques cotes, bon rétablissement, repose toi bien.
Départ vitesse grand V pour le groupe, Sébastien et Bernard ont décidé d’imposer un tempo élevé, Bref ça roule fort, enfin surtout eux.Après 35 km parcourus on se retrouve pour un verre bien mérité,sans William qui préfère rester auprès des secouristes. Les marcheuses nous rejoignent ainsi que Bada qui a fait le 25 km.
Dominique

Les 3 mousquetaires étaient bien 3. Une grande partie de vététistes étant partie à la Lucey’n, on se donne rendez-vous au 28 rue des Boilettes pour une rando en direction de la Moselle, le Bois l’Évêque et la Deuille. Emilio n’a pas roulé depuis plusieurs semaines en raison de problèmes de tendinite aux poignets et aux épaules. On décide avec Bernard de l’Embanie pour un parcours cool qui nous emmène aux ruines du bois de Dommartin puis sur les bois de Chaudeney et Pierre la Treiche, vers le chemin des Grottes. On remontera vers l’écluse de Villey le Sec avant d’attaquer le longue montée pierreuse qui ramène au Bois l’Evêque. On aura la surprise de rencontrer Justin T, un ancien jeune de l’école cyclo qui s’apprêtait à mettre à mal quelques stères de bois de chauffage pour ses grands parents, la Stihl étant affûtée, elle aussi. Cette pause a permis à Emilio de bien récupérer de cette longue montée barrée d’arbres déracinés et on repartira vers la Deuille par un très longue descente, très roulante avant de virer à droite pour aller sur la résurgence mais par un chemin boueux qui sert parfois de lit au ruisseau. Après la longue remontée sur le plateau, on rejoindra à nouveau le lit de la Deuille pour rentrer sur Pierre la Treiche par un chemin relativement praticable hormis les troncs tombés ici ou là et qui obligent à contourner ou à enjamber. Pas de problème pour remonter ensuite vers le champ de bosses de Chaudeney, dernière montée significative, avalée prestement par le groupe, Emilio en tête, à son rythme. Au débrief, on a refait le monde et constaté qu’on avait fait 25 km et 350 m de dénivelé. Bien suffisant pour une reprise, n’est-ce pas Emilio ?
Et cet après-midi un coup de téléphone de William me signale sa chute lors de la rando de Lucey où il a heurté la planète après avoir fait un refus d’obstacle (comme les chevaux) sur un tronc. Après un passage aux urgences, pas de drame mais 6 côtes cassées qui le gênent beaucoup pour respirer. Mais aussi près de deux mois d’arrêt. Manque pas d’air le WD1 mais on lui souhaite de ne pas trop souffrir car les côtes, ça fait mal, pas seulement quand ça monte.
Gérard

Le compte rendu de la sortie

Ce matin, je me lève à 7 h30. Il flotte depuis de nombreuses heures. Si j’écoute les « tafio….. » du club, je devrais me remettre sous les draps mais n’écoutant que ma bonne étoile; je me prépare à aller jusqu’au lieu de rendez-vous, non sans avoir salué mon voisin qui a subi vendredi son premier traitement, sans soucis particulier et qui vous transmet ses amitiés. Persuadé que sur place au lieu de RDV, il n’y aurait pas un chat… Que nenni ! William et un petit nouveau, Romain, sont déjà à pied d’œuvre et ce n’est pas tout. Arrive le résident de Bois le Comte, puis celui de la rue de Briffoux et enfin le sieur de Choloy. On attend un peu, dès fois que les mauviettes… (c’est pas de moi, dixit William) aient des remords. Allez, c’est parti vers le refuge du Mordant. La pluie s’estompe mais les chemins sont gorgés d’eau. Jean-Luc, en voulant éviter une mare, se retrouve les quatre fers en l’air. En empruntant quelques monotraces dans le Bois la Ville, nous nous disons que nous avons bien fait de ne pas aller à Marbache car l’équilibre est des plus instables sur ces portions. On passe à Bouvron, toujours par des chemins gorgés d’eau. L’avantage, c’est que ça ne colle pas, puis Lagney avec un sentier « merdique » au dessus des « vergers… bio », puis les vignes de Lucey pour rejoindre l’ancien « fort de Bruley » où notre Jean-Marie nous ordonne de le suivre… Vous le connaissez ? Devinez ? On se retrouve exactement, suite à ce détour, au point de départ donc on a tourné en rond. La prochaine fois, on pourra aller sur la Place Ronde à Toul ! Bon on ne va pas lui en vouloir car on arrive chez lui devant qq rafraîchissements sous sa belle pergola suite à 40 km et 400m de dénivelé, et encore une fois les absents ont eu tord.
Jacques

Bon, je résume : les médias annoncent un temps de merde (pratiquement alerte orange) pour ce jour. Je me lève quand même à 7h 40 et constate que la pluie s’arrête de tomber. Je m’équipe pour la sortie de ce jour et sors à 8h15 avec mon VTTAE. Toujours pas la moindre goutte d’eau. Arrive un pèlerin, en l’occurrence Jean-Marie et il sera le seul. Il n’est pas très motivé vu les nuages noirs qui amoncellent au dessus de la colline. Yves est venu nous saluer et encourager. Il nous informe qu’il va passer un nouvel examen ce mardi… 8h35. Jean-Marie décide de rejoindre son domicile. Je m’apprête à en faire de même, mais mon vélo me dit « tu vas pas quand même de dégonfler comme toutes ces  » petites b… » du club et  passer toute ta matinée devant ton ordi ou à regarder ces chaînes d’infos à te foutre le bourdon ». Donc je fais un parcours en passant par le fort paintball de Blénod, puis direction le « Cul du Mont de la Rue ». Le soleil est au rendez-vous (vous pouvez vérifier sur les photos). Long cheminement dans les bois de l’Essarts. Je passe non loin de la ferme de la Camardière avant de rejoindre Gibeaumeix pour suivre la vallée de l’Aroffe jusqu’à Vannes. Le vent est assez soutenu, mais toujours pas une goutte de pluie ni de neige! Juste après Vannes, je monte la côte du « coin de la Ratte », sans me la mettre au court bouillon pour rejoindre Meine et sa source. Un dernier détour pour passer au dessus de Blénod et sa belle église, j’arrive au terme de mon périple suite à 41 km et 673 m de dénivelé et je débriefe seul, en ayant une pensée pour tous ceux qui ont eu tort de ne pas profiter de cette belle matinée. La flotte est arrivée à 13h15… Quand je vous dis qu’il ne faut pas écouter ces médias de mauvaises augures!!!!! et finirai pas les écouter que quand ils annonceront des bonnes nouvelles… C’est pas gagné.
Jacques

Allez lou y a, en ce beau matin, nous avons le plaisir d’accueillir une VTTiste, et c’est Philippe qui nous la présente. Comme je n’ai plus beaucoup de mémoire et que je n’ai pas retenu son prénom, je vais la baptiser » Mandarine »? C’est un prénom qui n’est pas commun ! C’est donc à neuf qui nous montons au « Champ de l’Alouette ». Pour le moment, personne n’a été plumé, et nous allons voir si « la Viergeotte » est toujours à sa place. Le Seb constate qu’au bout de 5 km, nous avons déjà plus de 225 m de dénivelé positif. Un peu de calme sur de long chemins blancs va lui redonner espoir. Mandarine ne faiblit pas. On passe devant l’ancienne cabane de « la Savonnière » et peu après sévère montée non prévue. On galère un peu dans des chemins un peu merdiques. Le lieu dit, s’appelle,  » le Mélassart » c’est vous dire si il y en avait. Mandarine suit sans problème avec son beau VTTAE. On descend le « Val de l’Âne » et de remonter vers le « bois de Rigny » la longue montée du  » bois de l’Essart » va être fatale à la capacité de la batterie du VTTAE de Mandarine. Que faire? Notre « mondial assistance » étant indisponible, c’est donc Philippe qui, en bon samaritain, se propose de chevaucher… le vélo de Mandarine, sans assistance et de pouvoir poursuivre notre périple, peu avant la zone de trial organisée pour le critérium départemental des jeunes cyclos, proposée par l’Al Toul. Philippe casse la chaine (appuyait il trop fort!). Bref, ne restant pratiquement plus que de la descente, tous le monde arrive à bon port suite à 34 km et 679 m de dénivelé…
Jacques

Ce matin, c’est une toute petite bruine au départ de cette rando et même les habituelles « poules mouillées » sont au rendez vous! Emilio, le résident de ce lieu, ne prend pas le départ de notre périple pour cause de multiples douleurs aux articulations. Ah! fait pas bon vieillir!!! Absence également de Dominique le jeune, enfin le croyait-il ! car il s’est fait une déchirure musculaire au mollet droit… au ski. « Quand tu ne sais plus descendre les pistes noires, il faut rester sur les vertes ». Allez, tout va bien jusqu’au  » bois du Tambour ». Michel le doc, qui a fait réviser son VAE se retrouve avec le même problème qu’il y a une quinzaine de jour. Il préfère quitter la rando. C’est sans compter sur l’incident de votre narrateur qui lors du dépannage, pose son biclou contre un arbre, mais celui-ci (pas l’arbre ) tombe et provoque la casse du support de la commande du capteur moteur. Notre Jean-Marie se propose de fixer l’objet avec moult rilsans. Bref ça fonctionne. Après les « fonds de Toul », une sévère montée, va calmer les ardeurs des musculaires et nousrejoignons le site de St Jacques avant de plonger par une longue descente sur celui de « Bonnefontaine ». Il manque deux copains, c’est Bernard de Bois le Comte qui a eu la bonne idée de percer. Réparation faite, on arpente le « chemin du Noirval » pour rejoindre Aingeray puis l’ancienne voie ferrée qui alimentait la base de l’Otan de Velaine. Le Sébastien commence à donner des signes de faiblesse et il est temps d’arriver à notre point de chute suite à 40.5 km et 545 m de dénivelé. Et de plus Emilio nous offre le débrif.
Amicalement Jacques