Bon, aujourd’hui, changement d’horaire… pas au goût de certains, mais nous avons de la chance, le soleil est au RDV et c’est à quinze sous la supervision de l’Ancêtre que nous grimpons en passant devant la « guinguette » de Mont, pour rejoindre « le bois de la Gare des Chèvres » complétement défoncé par de récents débardages. Ça commence bien. Chaines, dérailleurs etc. demandent à évacuer la boue accumulée. On descend le » chemin de la Femme Tuée », qui va permettre de nettoyer un peu nos montures. Passé Blénod on remonte sur le plateau soit par la route ou le chemin qui longe cette route, et arrivés en haut, une horde de sangliers, défie une dernière fois pour cette saison, nos copains chasseurs, en traversant la route juste devant nous et pour notre part, nous arriverons à les contourner. Nous traversons Vannes et occultons le passage du gué de « la Viole ». C’est un ruisseau, qui est en crue suite aux récentes pluies tombées ces derniers jours et rejoignons Uruffe. La montée qui suit va être fatale au dérailleur de Michel le doc et devra être remorqué par Jean-Luc et une autre locomotive sera nécessaire en la personne de Philippe, pour hisser le convoi jusqu’à Mont. On se retrouve chez Yves pour notre débrief suite à 34 km et 680 m de dénivelé…
Jacques